Chers camarades,

Cinquante ans !

Dans un an, cela fera cinquante ans que nous nous retrouvions pour intégrer l’Ecole, événement pour lequel nous avions consenti de nombreux sacrifices et multiplié nos efforts pendant deux ou trois années.
Nous avons vécu ensemble durant au moins deux ans, et plus pour ceux qui ont choisi les mêmes écoles d’application. Nous y avons noué des amitiés solides et nous revoyons fréquemment ceux qui sont restés nos proches.
Mais, nous gardons aussi des souvenirs attachants de ceux que nous ne revoyons qu’épisodiquement ; et quand l’occasion nous est donnée de les revoir, c’est avec plaisir que nous renouons un dialogue empreint de curiosité et d’intérêt, et si facilement que nous ressentons combien étaient forts les liens créés lors de notre vie commune à l’Ecole.

Il y a neuf ans, plus d’une centaine d’entre nous se sont retrouvés – avec leur épouse pour la plupart – pour fêter les quarante ans de notre promotion. Tous ont gardé un souvenir extrêmement positif de ce week-end qui nous a été rendu impressionnant et festif grâce à la participation  active de Jean-François Roverato et de Gérard Dumonteil.

Aujourd’hui, je suis persuadé que nous pouvons à nouveau nous rencontrer pour fêter notre cinquantenaire comme il se doit.
Ceux qui étaient présents aux « 40 ans » seront – je n’en doute pas – présents aux « 50 ans ». Ceux qui n’avaient pas pu venir auront – je le pense – envie de ne pas rater cette occasion de passer ensemble un grand moment.

Un groupe d’une douzaine de camarades se sont réunis autour de Gérard Dumonteil et de moi-même pour préparer cette fête et la mettre à la hauteur de l’événement.
C’est avec enthousiasme qu’ils vous invitent avec moi à nous retrouver les 27 et 28 septembre 2014 à Cannes.
Un programme fourni d’activités vous sera proposé, mais l’essentiel reste avant tout que nous passions un week-end festif ENSEMBLE.

Vous recevrez très prochainement un programme détaillé de ce week-end ainsi qu’un formulaire d’inscription. Je vous demande d’y répondre très rapidement car il nous faut simplifier la tâche – assez complexe – des organisateurs.

Chers camarades, je souhaite sincèrement que, malgré l’érosion – hélas naturelle – du temps, nous soyons encore plus nombreux en 2014 que nous le fûmes en 2004.

Croyez en mes sentiments d’amicale camaraderie.